La fille de Jean-Jacques Goldman s’est confiée sur son travail de pédopsychiatre, loin des paillettes du divertissement., n’a pas suivi le même chemin que son père ou son fils, frère. Elle a décidé de devenir psychologue pour enfants.
Cependant, ses positions sur la question de l’éducation sont parfois contradictoires. Dans une interview accordée au magazine Elle, elle revient sur sa position de psychologue et de fille de Jean-Jacques Goldmann. Elle évoque notamment sa mère, qui avait 17 ans lorsqu’elle a rencontré le chanteur.
Après tout, son père est une personne particulièrement réservée. Mais il reste une immense star en France.La psychologue est connue pour ses prises de position sur la parentalité positive, dont elle pointe les dérives.
Ce qui ne laisse pas indifférent. Dans les colonnes du magazine Elle, elle revient sur sa posture : « Je suis porteuse d’une parole qui n’est pas acceptée d’un commun accord. Je dis que les enfants ne sont pas des créatures angéliques, qu’ils ont besoin d’être punis, parfois laissés pleurer devant la porte.
J’avais peur d’être connu comme le pire psychiatre du monde, mais je dois dire la vérité. Je fais ce travail pour guérir, pas pour créer une idéologie. La fille de Jean-Jacques Goldman ne veut pas être célèbre.
Alors qu’elle publie un livre à succès, la notoriété de Caroline Goldman ne cesse de croître, sans doute aidée par sa relation avec la star française. Pourtant, ce n’est pas ce qu’elle recherche :
« Cela m’intéresse aussi peu que mon père. C’est même une conséquence plutôt désagréable. Mais pour moi, la reconnaissance de mes pairs est très importante. »
C’est sans doute pour cela qu’elle n’a pas choisi la lumière, comme son frère Michael Goldman, .
C’est elle qui lui a conseillé de se lancer dans la psychanalyse. Vous savez, à la maison, nous aimons les enfants, nous en faisons beaucoup et cela nous rend très heureux. Nous sommes passionnés par le déblocage des potentiels, y compris amoureux… »
Et c’est très dommage si les positions prises par la fille de Jean-Jacques Goldman ne font pas l’unanimité. On peut certes parler d’éducation positive, qui est promue, notamment, dans les réseaux sociaux, mais qui dénonce les abus pour le développement de l’enfant.