Amandine Pellissard s’est confiée sur sa neuvième grossesse, très surveillée par les médecins car jugée à risques.
La famille va s’agrandir avec l’arrivée prochaine d’un nouvel enfant. Mais la maman n’est pas sereine.
Elle sait qu’elle est concernée par ce qu’on appelle les grossesses à risque, celles qui sont plus surveillées par le corps médical.
Elle nous explique pourquoi.
Amandine Pellissard assiste à son nouvel enfant.
C’est Alexandre qui a vendu la meche. Il était difficile pour le futur papa de garder le secret, au grand regret de sa femme.
« Depuis le temps qu’on l’attend… On a essayé, mais ça ne marchait pas, on avait laissé tomber, on avait oublié.
On vient tout juste de l’apprendre, il y a une semaine ».
Amandine aurait aimé qu’ il garde encore le secret, mais c’est maintenant trop tard, tout le monde le sait. La maman a précisé qu’elle doit arrêter de fumer et de boire pour s’assurer que son bébé se porte bien.
Et en ce qui concerne sa nouvelle carrière dans le X ? Une grossesse à risques pour Amandine Pellissard.
Dans un live sur Instagram, Amandine Pellissard a partagé quelques confidences sur sa grossesse. Et notamment sur le caractère risqué de cette dernière.
« Je suis [considérée comme étant] en grossesse à hauts risques, compte tenu du traitement que je suis depuis des années.
Il y a plein de facteurs à prendre en compte, donc évidemment qu’il faut être très prudent, faire très attention. Et c’est vrai que quand je suis enceinte, on me surveille comme le lait sur le feu. »
Le lourd traitement de la maman.
Conséquence de plusieurs années de déviance, comme elle le dit, Amandine Pellissard suit un traitement au quotidien.
Chaque jour, elle prend de la méthadone. Elle considère ce traitement comme une punition. Ou, ce traitement n’est pas sans conséquence sur l’évolution du fœtus. » Tant que ça ne porte préjudice qu’à moi, ça va.
Que ça puisse avoir une incidence sur mon bébé, ça par contre, je ne l’ai jamais accepté. Je touche du bois vraiment, je remercie Dieu : ça ne m’est jamais arrivé, aucun de mes enfants n’a fait de syndrome de sevrage ».