A 30 ans, Florian Ordóñez, connu sous le pseudonyme « Bigflo », continue d’obtenir de grands succès sur le plan musical.
Mais ces derniers temps, l’artiste s’est ouvert sur un plan plus personnel, évoquant notamment ses relations avec les femmes.
Avec une merveilleuse leçon de vie pour tous ceux qui permettent aux complexes d’influencer leur existence.
Les années passent, mais pour Bigflo et Olya tout se passe comme sur des roulettes.
Désormais solidement ancrés dans le paysage français, les frères se préparent pour un été mouvementé marqué par plusieurs festivals.
Et comme ils sont toujours aussi doués dans leur communication, c’est au micro de Conbini que les Toulousains se sont récemment arrêtés pour « petite conversation ».
Bigflo est honnête sur son physique et ses relations avec les femmes
Dans ce format, Bigflo démontre son physique, qu’il définit comme « atypique », et la perception qu’en ont les femmes comme jamais auparavant. moment de sincérité :
Pour être honnête, je pense que j’ai un visage terrible. Je l’ai compris assez tôt et j’ai eu du mal au début.
Toutes les filles que j’ai eues ne m’ont jamais dit « tu es belle ». Ils m’ont dit : « Tu es atypique. (Mon visage) a une certaine profondeur, mais il n’est jamais beau, et j’en suis conscient.
C’est un visage dur. Après tout, je suis doué pour plaisanter, ce qui, heureusement, me sauve. Si je ne l’avais pas, pour être honnête, ce serait difficile.
Car le message que Bigflo veut faire passer, c’est qu’il a vraiment apprivoisé ce visage qui le rendait si compliqué quand il était plus jeune.
Une lueur d’espoir pour les personnes partageant les mêmes idées:
Un jour, je m’en foutais vraiment, mais je ne pouvais pas l’expliquer d’une manière étrange…
Un grand merci à toutes les personnes aux visages atypiques, filles et garçons, nous sommes tous bons à un moment donné. point
Dès lors, en paix avec lui-même, et d’autant plus facile qu’il porte désormais une barbe qui, selon lui, le faisait « briller », l’artiste a survécu au tournant des années 50. Il tire également une conclusion qui joue en sa faveur :
Au fil du temps, j’ai eu l’impression que les filles penchaient davantage vers des côtés plus atypiques.
Cet article A 30 ans, Bigflo est honnête sur lui-même et sur les femmes : « Toutes les nanas que j’ai eues étaient avec moi… » est apparu pour la première fois sur Parlons Basket.